Valais
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Vote du 9 février: pas de ruée sur le passeport suisse en Valais
Depuis le vote du 9 février sur l'immigration de masse, nombre d'administrations cantonales romandes font état d'une hausse des demandes de naturalisation.
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Depuis le vote du 9 février sur l'immigration de masse, nombre d'administrations cantonales romandes font état d'une hausse des demandes de naturalisation. Mais si en Valais, légère hausse il y a, elle est plutôt induite par la révision en cours de la Loi sur la nationalité (LN), estime Jacques De Lavallaz, chef du Service de la population et des migrations (SPM).
De 3 demandes et demie quotidiennes en 2013, on est passé à 4 depuis le début de l'année. Signe que le tour de visse prévu par cette réforme inquiète.
Actuellement aux mains des Chambres fédérales, le projet de révision veut rendre la naturalisation accessible aux seuls détenteurs d'un permis C, autrement dit d'une autorisation d'établissement. Il entend également clarifier les critères d'intégration et harmoniser la procédure à l'échelle suisse.
Pas de grand changement à attendre pourtant en Valais. Pour Jacques De Lavallaz, le tournant a eu lieu en 2008-2009 déjà lors de l'abandon de la bourgeoisie comme préliminaire indispensable à la naturalisation. Une modification qui a considérablement réduit les coûts de procédure: compter 1'000 francs pour une famille et un délai de 2 ans.
En 2013, notre canton a enregistré 1'250 naturalisations avalisées par le Grand Conseil. Un nombre relativement stable ces dernières années quoiqu'en très légère progression.
De 3 demandes et demie quotidiennes en 2013, on est passé à 4 depuis le début de l'année. Signe que le tour de visse prévu par cette réforme inquiète.
Actuellement aux mains des Chambres fédérales, le projet de révision veut rendre la naturalisation accessible aux seuls détenteurs d'un permis C, autrement dit d'une autorisation d'établissement. Il entend également clarifier les critères d'intégration et harmoniser la procédure à l'échelle suisse.
Pas de grand changement à attendre pourtant en Valais. Pour Jacques De Lavallaz, le tournant a eu lieu en 2008-2009 déjà lors de l'abandon de la bourgeoisie comme préliminaire indispensable à la naturalisation. Une modification qui a considérablement réduit les coûts de procédure: compter 1'000 francs pour une famille et un délai de 2 ans.
En 2013, notre canton a enregistré 1'250 naturalisations avalisées par le Grand Conseil. Un nombre relativement stable ces dernières années quoiqu'en très légère progression.
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