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Un groupe de travail pour l'Agroscope de Conthey
Agroscope de Conthey: le Gouvernement valaisan a pris les choses en main.
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Agroscope de Conthey: le Gouvernement valaisan a pris les choses en main.
Nous l'apprenions en mars dernier, la Confédération avait émis le souhait de se désengager de l'Agroscope pour se focaliser sur la recherche arboricole en Suisse alémanique. Conséquence: 10 à 15 postes auraient pu disparaître sur le site contheysan d'ici la fin de cette année. Or, pour l'heure, il n'en n'est rien, grâce à la levée de boucliers du gouvernement valaisan et particulièrement du service de l'économie, de l'énergie et du territoire qui a fait entendre sa voix à Berne et réussi à mettre en place un groupe de travail qui planchera sur le dossier dès la rentrée et jusqu'à la fin de l'année.
Il sera composé de représentants de la Confédération ainsi que de spécialistes de la branche, provenant du Valais mais aussi de Suisse romande.
Enfin, "c'est la Confédération qui aura le dernier mot et qui prendra sa décision, normalement en début d'année. Quoi qu'il en soit, le nerf de la guerre, c'est toujours l'argent", précise Pierre-Yves Délèze, secrétaire général du département de l'économie, de l'énergie et du territoire.
Nous l'apprenions en mars dernier, la Confédération avait émis le souhait de se désengager de l'Agroscope pour se focaliser sur la recherche arboricole en Suisse alémanique. Conséquence: 10 à 15 postes auraient pu disparaître sur le site contheysan d'ici la fin de cette année. Or, pour l'heure, il n'en n'est rien, grâce à la levée de boucliers du gouvernement valaisan et particulièrement du service de l'économie, de l'énergie et du territoire qui a fait entendre sa voix à Berne et réussi à mettre en place un groupe de travail qui planchera sur le dossier dès la rentrée et jusqu'à la fin de l'année.
Il sera composé de représentants de la Confédération ainsi que de spécialistes de la branche, provenant du Valais mais aussi de Suisse romande.
Enfin, "c'est la Confédération qui aura le dernier mot et qui prendra sa décision, normalement en début d'année. Quoi qu'il en soit, le nerf de la guerre, c'est toujours l'argent", précise Pierre-Yves Délèze, secrétaire général du département de l'économie, de l'énergie et du territoire.
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