Promouvoir l’usage du patois par la musique : le projet insolite de Luc Monsciani Carrupt
Mettre en valeur le patois local par le biais de la chanson. A Chamoson, le musicien Luc Monsciani Carrupt s’en est presque fait un cheval de bataille. Après un premier vinyle édité il y a deux ans, il revient sur le marché avec un second opus.
Utiliser la musique pour populariser le patois local. Luc Monsciani Carrupt est Chamosard d’adoption, conseiller communal et musicien. Impliqué ici et là dans plusieurs formations musicales, il s’est lancé dans un projet plutôt insolite ces dernières années : écrire des chansons en patois valaisan.
L’assistance de l’association des patoisants de Chamoson et les subventions de la Fondation cantonale lui ont permis de sortir son premier vinyle il y a deux ans. Cette fois, c’est en partie dans son propre porte-monnaie qu’il a pioché pour faire naitre son deuxième opus.
Comme le premier, il contient deux morceaux, qui abordent des thématiques comme le travail de la terre et de la vigne.
Mais la différence réside dans le travail d’écriture. Rencontre avec Luc Monsciani Carrupt en musique.
Cet objet peut être retrouvé à l’office du tourisme de Chamoson.
