Valais
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Les jeunes de la Vallée du Trient participent à un projet-pilote
La Confédération et le Canton du Valais, au service des jeunes des vallées latérales et des espaces ruraux.
La Confédération et le Canton du Valais, au service des jeunes des vallées latérales et des espaces ruraux.
C'est le but du projet-pilote, soumis par Paul Burgener, Délégué à la jeunesse.
Cette action vise à développer des activités extrascolaires en faveur des 12-25 ans, issus de ces régions reculées.
Après Chippis, Grône et Anniviers l'an dernier, c'est au tour des jeunes de Vernayaz, Salvan, Finhaut et Trient d'adhérer à ce projet d'une durée de deux ans.
Ce concept est devisé à 75 mille francs par an; la Confédération prend en charge la moitié de cette somme, tandis que les 4 communes de la Vallée du Trient se partagent le solde.
Fraîchement embauchée à hauteur de 50%, une animatrice socio-culturelle aura pour tâche de dresser un état des lieux, en identifiant quels sont les besoins exprimés par les différentes jeunesses de cette région.
Pour Paul Burgener, l'objectif est aussi d'éviter l'exode de ces jeunes vers la plaine.
Il faut dire que dans les villes valaisannes, l'animation socio-culturelle est une véritable réussite; le défi actuel est donc de changer la donne dans les zones rurales qui peinent souvent à trouver des activités pour leur jeunesse.
"Les résultats de ces deux projets-pilotes initiés dans les régions de Sierre et de Martigny, permettront probablement à la Confédération d'appliquer ce concept dans d'autres cantons ruraux", relève encore Paul Burgener.
C'est le but du projet-pilote, soumis par Paul Burgener, Délégué à la jeunesse.
Cette action vise à développer des activités extrascolaires en faveur des 12-25 ans, issus de ces régions reculées.
Après Chippis, Grône et Anniviers l'an dernier, c'est au tour des jeunes de Vernayaz, Salvan, Finhaut et Trient d'adhérer à ce projet d'une durée de deux ans.
Ce concept est devisé à 75 mille francs par an; la Confédération prend en charge la moitié de cette somme, tandis que les 4 communes de la Vallée du Trient se partagent le solde.
Fraîchement embauchée à hauteur de 50%, une animatrice socio-culturelle aura pour tâche de dresser un état des lieux, en identifiant quels sont les besoins exprimés par les différentes jeunesses de cette région.
Pour Paul Burgener, l'objectif est aussi d'éviter l'exode de ces jeunes vers la plaine.
Il faut dire que dans les villes valaisannes, l'animation socio-culturelle est une véritable réussite; le défi actuel est donc de changer la donne dans les zones rurales qui peinent souvent à trouver des activités pour leur jeunesse.
"Les résultats de ces deux projets-pilotes initiés dans les régions de Sierre et de Martigny, permettront probablement à la Confédération d'appliquer ce concept dans d'autres cantons ruraux", relève encore Paul Burgener.
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