Valais
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L'UDC du Valais romand ne veut pas d'une taxe sur l'énergie
Pas question de remplacer 22 milliards de revenus sur la TVA par une taxe sur l'énergie qui porterait le litre d'essence à cinq francs.
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Pas question de remplacer 22 milliards de revenus sur la TVA par une taxe sur l'énergie qui porterait le litre d'essence à cinq francs.
C'est l'un des messages de l'UDC du Valais romand venue dire, hier, en conférence de presse, tout le mal qu'elle pense du texte qui sera soumis à votation le 8 mars.
L'initiative des verts libéraux ne passe pas auprès des agrariens parce qu'elle ferait exploser la note pour le mazout et l'essence. Le litre pour une voiture passerait à 3 francs d'ici 2020, voire à 5 francs à l'horizon 2050 selon les chiffres du scénario présenté par le Conseil fédéral a rappelé Grégory Logean, responsable de la campagne pour l'UDCVR.
Une telle taxe serait tout simplement insupportable pour le tourisme et l'agriculture, gros consommateurs d'énergie. Il clouerait au pilori de nombreuses petites sociétés de remontées mécaniques ou des exploitations écrasées par de nouvelles charges", s'inquiète Kevin Follonier.
Et ce n'est en tout cas pas avec l'abolition de la TVA que les commerces ou le tourisme pourraient sentir l'allègement de leur charge, prévient Sébastien Panariello des jeunes UDC, puisque avec le report des frais de transport sur les marchandises, le surcoût incomberait directement aux PME".
L'UDC en appelle donc au rejet de cette initiative le 8 mars.
Une telle taxe serait tout simplement insupportable pour le tourisme et l'agriculture, gros consommateurs d'énergie. Il clouerait au pilori de nombreuses petites sociétés de remontées mécaniques ou des exploitations écrasées par de nouvelles charges", s'inquiète Kevin Follonier.
Et ce n'est en tout cas pas avec l'abolition de la TVA que les commerces ou le tourisme pourraient sentir l'allègement de leur charge, prévient Sébastien Panariello des jeunes UDC, puisque avec le report des frais de transport sur les marchandises, le surcoût incomberait directement aux PME".
L'UDC en appelle donc au rejet de cette initiative le 8 mars.
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