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L'Association des Riverains de l'Aéroport de Sion à un tournant
La fin des vols réguliers de jets militaires depuis l'aéroport de Sion, à la fin de l'année, ne remet pas en cause l'existence de l'ARAS.
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La fin des vols réguliers de jets militaires depuis l'aéroport de Sion, à la fin de l'année, ne remet pas en cause l'existence de l'ARAS.
Car les buts de l'association des riverains de l'aéroport de Sion vont bien plus loin que les seules nuisances engendrées par les avions militaires.
Contrairement à "Ras-le-bol", dont l'action s'était focalisée sur les FA/18, l'ARAS entend également contribuer à faire de Sion un "aéroport civil fort". C'est ce qu'a rappelé hier soir en assemblée générale son président, Jean-Paul Schroeter, en invitant les membres à être une force de proposition. L'ARAS fait en effet partie du comité consultatif qui doit accompagner les travaux du comité de pilotage chargé de plancher sur l'avenir de l'aéroport de Sion. Et comme ce comité stratégique doit en principe rendre un premier rapport en septembre, le temps presse pour celles et ceux qui veulent amener des idées afin de développer l'activité civile de l'aéroport. "L'ARAS est à un tournant capital de son existence", résume Jean-Paul Schroeter.
La base aérienne de Sion sera fermée le 31 décembre 2017. Elle restera toutefois à disposition de l'armée comme aérodrome de dégagement.
Car les buts de l'association des riverains de l'aéroport de Sion vont bien plus loin que les seules nuisances engendrées par les avions militaires.
Contrairement à "Ras-le-bol", dont l'action s'était focalisée sur les FA/18, l'ARAS entend également contribuer à faire de Sion un "aéroport civil fort". C'est ce qu'a rappelé hier soir en assemblée générale son président, Jean-Paul Schroeter, en invitant les membres à être une force de proposition. L'ARAS fait en effet partie du comité consultatif qui doit accompagner les travaux du comité de pilotage chargé de plancher sur l'avenir de l'aéroport de Sion. Et comme ce comité stratégique doit en principe rendre un premier rapport en septembre, le temps presse pour celles et ceux qui veulent amener des idées afin de développer l'activité civile de l'aéroport. "L'ARAS est à un tournant capital de son existence", résume Jean-Paul Schroeter.
La base aérienne de Sion sera fermée le 31 décembre 2017. Elle restera toutefois à disposition de l'armée comme aérodrome de dégagement.
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