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Construction métallique: la Lex Weber n'a pas encore frappé
La crise ne guette pas encore le secteur de la construction métallique valaisan, suite au oui de la population suisse à la Lex Weber.
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La crise ne guette pas encore le secteur de la construction métallique valaisan, suite au oui de la population suisse à la Lex Weber.
Le bilan tiré vendredi à l?occasion de l?assemblée générale de la faîtière cantonale de la branche.
Il y a certes un refroidissement dans la construction mais il n?y aura pas de véritable crise avant trois ou quatre ans, selon le président Stefan Imhof. L?incertitude face à l?avenir, c?est cela qui freine l?économie, estime-t-il.
Forte d?une cinquantaine de membres, l?association valaisanne des entreprises de construction métallique forme une centaine d?apprentis, entre les deux régions linguistiques.
Quant à savoir si cela suffira pour assurer la relève, cela dépendra des décisions qui seront prises au plan politique. « Si on amène de plus en plus de restrictions et de lois, et qu?on ne nous laisse plus travailler, peut-être qu?on a pas besoin de beaucoup plus de gens qui travaillent », a noté le président.
En attendant, le secteur dépense beaucoup d?énergie pour se faire mieux connaître du grand public, par des actions ciblées. L?association a par exemple invité les meilleurs apprentis du canton ? toutes professions confondues - pour une sortie au Gornergrat l?an dernier.
Le bilan tiré vendredi à l?occasion de l?assemblée générale de la faîtière cantonale de la branche.
Il y a certes un refroidissement dans la construction mais il n?y aura pas de véritable crise avant trois ou quatre ans, selon le président Stefan Imhof. L?incertitude face à l?avenir, c?est cela qui freine l?économie, estime-t-il.
Forte d?une cinquantaine de membres, l?association valaisanne des entreprises de construction métallique forme une centaine d?apprentis, entre les deux régions linguistiques.
Quant à savoir si cela suffira pour assurer la relève, cela dépendra des décisions qui seront prises au plan politique. « Si on amène de plus en plus de restrictions et de lois, et qu?on ne nous laisse plus travailler, peut-être qu?on a pas besoin de beaucoup plus de gens qui travaillent », a noté le président.
En attendant, le secteur dépense beaucoup d?énergie pour se faire mieux connaître du grand public, par des actions ciblées. L?association a par exemple invité les meilleurs apprentis du canton ? toutes professions confondues - pour une sortie au Gornergrat l?an dernier.
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