"Un environnement sain et une vision pour l’avenir" : Philippe Rebord président de la Fondation PdG
Partira, partira pas ? L’incertitude plane encore sur la suite du programme de la PdG. Les annulations ont évidemment des conséquences. Mais l’avenir à moyen-long terme de la manifestation n’est pas remis en cause.
Météo et sécurité. Ces deux mots reviennent très souvent lorsqu’il s’agit d’évoquer la Patrouille des Glaciers. L’armée a pour mission d’organiser la course, en s’assurant de la protection des participants et de ses hommes. Président de la Fondation, qui chapeaute les aspects "promotionnels" de l’épreuve, l’ancien Chef de l’Armée Philippe Rebord comprend tout à fait les décisions prises en ce milieu de semaine. Même si des conséquences ne sont pas exclues.
Confiance retrouvée
Les aspects financiers, pour la Fondation, cela concerne surtout les revenus liés aux zones d’arrivée et de départ. Car les inscriptions, elles, sont encaissées par l’armée. Voilà pour les précisions monétaires. Reste que la Patrouille des Glaciers, et les différentes entités qui s’en occupent, ont dû traverser un petit orage "médiatique" ces dernières années. Pas de quoi mettre en péril tout l’édifice.
Une vision et des bonnes relations retrouvées entre les grandes courses dont la PdG et l’ISMF, la fédération internationale de ski alpinisme.
Rappelons que deux courses sont encore au programme pour cette édition 2024 de la PdG. La petite Patrouille au départ d’Arolla (A2). Et la grande depuis Zermatt (Z2). Dans la nuit de vendredi à samedi, si tout va bien. Sinon, ça sera "en principe" de samedi à dimanche. Pour autant que le ciel soit clément.